Confessions d’un cheese lover : une histoire d’amour et de lactose
5 décembre 2024
Un jour d’octobre dernier, lors d’une réunion de travail entre équipes, l’une d’entre nos collègues a fait remarquer à l’assemblée que la journée internationale (pas moins !) de la raclette tombait le même jour que l’anniversaire de TayTay (Taylor Swift, née un beau matin – ou un beau soir, je n’ai pas vérifié, de 13 décembre). Immédiatement, une décision fût prise : nous parlerions, dans l’un des articles de la newsletter du 13 décembre qui vous a probablement conduit(e) jusqu’ici, de fromage ET de Taylor. Challenge accepté.
Les mille et une raisons d’avoir une relation parfaite avec le fromage
Pour les amoureux du fromage, les vrais, cet aliment touche au sublime, à la perfection. Qui a besoin d’amour quand on peut avoir l’umami*, ce fameux cinquième goût qui provoque dans notre cerveau une onde de bonheur ? Une sorte de version tellement moins coûteuse qu’un psychologue ? Mieux, plus durable que l’amour de votre vie (le fromage, lui, ne vous laissera jamais tomber, n’oubliera jamais votre anniversaire, ni même celui de Taylor Swift).
Et puis le fromage, on peut en changer comme de chemise, sa diversité vous garantit de ne jamais vous lasser de lui : doux, fort, acide, piquant, coulant, dur, fruité… il y en a pour tous les goûts et même plus, si affin(it)é.
Est-ce qu’on a mentionné les casomorphines ? Celles qui vous envoient un petit shoot de dopamine à chaque dégustation ? On vous rassure, c’est parfaitement légal.
Sans parler du fait qu’il n’est pas exclusif et permet une relation ouverte avec le vin, le pain, les fruits, les pâtes… et vous.
A ce stade on doit vous donner une information qui va peut-être changer vos vies, cheese lovers. Vous pouvez. Payer. Vos achats en crémerie ou fromagerie. En titres-restaurant. Non, vous ne rêvez pas.
Là, maintenant, tout de suite, vous pouvez arrêter la lecture de cet article, filer chez votre fromager préféré et dépenser jusqu’à 25 euros en fromage, financé par votre carte Pluxee Restaurant. Et même 55 € si vous avez activé le complément de paiement. Sauf si vous lisez ceci un dimanche ou un jour férié, mais avouez, n’avoir que quelques heures à attendre avant de vous offrir le plateau de fromages de vos rêves, n’est-ce pas le cadeau ultime ? (Bon anniversaire TayTay)
*non, ce n’est ni une anguille, ni une technique de karaté, on vous voit, les fans de Friends. Pour les autres, si vous avez cinq minutes, la réf est juste en dessous.
Les deux ou trois raisons incompréhensibles de ne pas aimer le fromage (et pourquoi ces gens sont suspects)
Au risque de sombrer du côté obscur de la force et au péril de notre vie, nous avons mené l’enquête parmi ces personnes qui n’aiment pas le fromage et pourtant ont une apparence très similaire à des humains.
Il se trouve que nous en avons justement une dans l’équipe (menacée, la pauvre, par non pas une mais deux raclettes de fin d’année). On nous a parlé d’odeur. Ok, le fromage peut sentir un peu fort, mais un remède radical est d’aller renifler du durian, ce fruit asiatique dont l’odeur évoque l’animal en cours de décomposition, pour relativiser immédiatement.
On nous a parlé de goût puissant. Provoquant ainsi une incompréhension partielle : n’est-ce pas, justement, ce qui fait tout son intérêt ?
Bref, si vous faites partie de ces curieuses personnes, nous essayons de vous comprendre, sans jugement, mais difficilement.
Et vous rappelons que si vous souhaiter nous réduire au silence, vous pouvez toujours aller, grâce à vos titres Pluxee Restaurant, aller nous chercher notre dose chez le fromager le plus proche. Pendant que nous dégusterons votre offrande, promis, nous ne parlerons plus de fromage.
Alors voilà. Pendant que TayTay souffle ses bougies, nous nous résignons (péniblement) à l’idée que nous ne convaincrons pas les haters du fromage.
Mettons que ça n’est pas très grave. Il y en aura plus pour la raclette de Noël.
La bande son de cet article, pour finir de vous réjouir, est juste en dessous.